Le Président Alpha Condé déclarait à un moment donné que rien et personne ne peut l’effrayer dans ce pays. Il disait qu’il n’y aurait jamais de coup d’État dans ce pays parce que l’Armée est républicaine. Il vantait sans cesse les mérites de la réforme des forces de défense et de sécurité. Contre toute attente, vint le 5 septembre.
Moralité : dans nos pays, rien ne doit être considéré comme définitivement acquis en politique vu que les institutions ne sont pas stables et que les principes démocratiques ne sont pas solidement ancrés dans nos pratiques.
L’arrivée annoncée de M. Yayi Boni, ancien président du Bénin et médiateur désigné par la CEDEAO pour la Guinée, soulève un certain espoir au sein de la classe politique, de la société civile et d’une bonne partie de la population. Cette visite pourrait permettre en effet de rapprocher les positions des différents protagonistes de la crise guinéenne afin que baisse la tension qui règne actuellement dans les pays.
Mais si le médiateur n’est pas maître de son agenda, sa visite ne servirait à rien. Si on doit lui dicter qui rencontrer et qui ne pas rencontrer pendant son séjour, sa présence à Conakry équivaudrait à son absence.
— conakrylemag


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