Un an de coup d’Etat. Après Alpha C
ondé, les élus à l’Assemblée Nationale, le gouvernement, les hauts cadres, le CNRD s’attaque désormais aux élus locaux : les maires et les autres conseillers communaux.
Depuis quelques jours, plus de dix conseils communaux sont dissoutes, pour être remplacés par des nommés qui doivent leur promotion à un ministre, lui-même fruit d’un putsch. Et, les prétextes trouvés, s’appellent mauvaise gestion des ressources des collectivités et détournement.
Les citoyens de ces collectivités seront dirigés par des gens qu’ils n’ont pas élus, hélas. Après les populations, l’autre victime se trouve être les partis politiques qui perdent ainsi de l’influence en perdant du terrain sur le territoire national. Nous savons tous l’enjeu politique pour un parti de perdre le contrôle d’une mairie à un moment où on s’achemine vers des élections. Le citoyen lambda, aigri, assis dans un café, peut se poser la question suivante : si depuis un an on n’a pas encore fini de perpétrer le coup d’Etat, à quand la fin de la transition ?
S’interroge le confrère Thierno Amadou Camara
— conakrylemag


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