La société civile guinéenne, Les occidentaux connus sous le vocable de la communauté internationale, les opérateurs économiques, etc. ont tous demandé à l’opposition guinéenne d’accepter la main tendue du pouvoir pour discuter du différend qui les oppose.
L’opposition guinéenne qui se croit sortie de la cuisse de Jupiter fait la sourde oreille et multiplie les préalables pour négocier et/ou rappelle les causes de « l’échec » des dialogues précédents.
Un des préalables est l’arrêt des activités de la Céni. Pendant ce temps la même opposition appelle ses militants à s’enrôler pour pouvoir voter pendant la présidentielle. On est tenté de croire que Dalein & Co manquent d’arguments pour tenir un dialogue entre adultes et responsables qui tiennent les destinées d’un pays. Ils optent alors pour une solution facile et puérile : occuper la rue et empêcher les autres qui ne pensent pas comme eux de vivre librement. Car qu’on se le tienne pour dit : le droit de manifester n’est en rien supérieur au droit de ne pas manifester.
En attendant l’appel du bon Dieu pour les exhorter à renoncer au vandalisme au profit d’une action civilisée (le dialogue), les leaders jouent au qui LIRE L’ARTICLE COMPLET
— conakrylemag