Ce vendredi 13 novembre a eu lieu la France a livré un match amical face à la manshaft au stade de France à Paris. Cette opposition qui a débuté à 19H45 (TU) s’est soldée deux buts à zéro (2-0) en faveur des bleus. Une victoire que les français ont célébré dans la douleur avec les fusillades de Paris.
Un stade plein à craquer avec les couleurs, bleue, blanc et rouge, qui ont uniformisé les tribunes. Tous sont venus supporter, ainsi que le président François Hollande, l’équipe nationale qui affrontait les champions du monde allemands pour un match amical.
Tout allait bien au cours de la première mi-temps. La France mène 2-0 (but de Giroud et de Gignac). Un score tenu jusqu’à la fin de la rencontre. Tout allait pour le mieux jusqu’au moment où deux bruits d’explosions retentissent à l’intérieur du stade. Sans le savoir, des hommes sortaient d’une voiture noire et se sont mis à tirer sur les passants dans les 10e et 11e arrondissements de Paris. Aussi sept explosions simultanées et une prise d’otage dans les Balcans (une salle de spectacle à capacité de plus 1000 spectateurs) ont été signalées.
Aux alentours du stade de France, deux kamikazes se sont fait explosés créant la panique à l’intérieure du stade, où par mesure de sécurité, joueurs et supporters en étaient bloqués. Le président quant à lui fut exfiltré. Il a décrété l’état d’urgence et la fermeture des frontières françaises pour, dit-il, « empêcher des rentrées sur le territoire nationale pour tout autres actes terroristes et ainsi, surveiller les sorties si possible, des suspects ».
Pour l’instant, le bilan provisoire fait état de plus de 150 morts dont cinq terroristes tués, selon le parquet et une centaine de blessés avec. Des mesures de sécurités drastiques ont été prises, avec le déploiement de plus de 1500 agents sur les lieux des attaques.
Cette date du vendredi 13 novembre sera celle de l’histoire puisqu’elle vient d’enregistrer la plus grande attaque terroriste du pays. Une soirée de couleurs et de douleurs.