Comme si ce n’était vraiment le cas. Oumar Rafiou Diallo je voulais tellement te voir achever ce que tu as entamé avec nous. Ce combat pour asseoir une presse encore plus libre et responsable. Tu faisais partie de cette génération de journalistes déterminés à assurer la relève.
En 7ans d’exercice de la profession, sans doute tu avais beaucoup plus à donner à travers des analyses lucides qui éclairent. Je me souviens comme hier de ton bref passage à Gangan. Tu étais avec moi et trois autres de nos collègues à animer une rédaction qui avait besoin d’hommes comme toi. Courageux, aucun terrain n’était difficile pour toi.
Que dire, tu étais un aîné dans la presse de juste quelques mois, mais tout nous unissait. À jamais dans nos coeurs.
Jacque Lewa
— conakrylemag