Sow Boubacar, membre du Parti libéral radical (PLR) Suisse: «Pour quoi je suis poli- tiquement d’obédience libé- rale. Entre les partis généra- lement de droite qui incitent et encouragent l’État à favoriser une meilleure redistribution des ressources et ceux, générale- ment de droite, qui incitent l’État à favoriser plutôt, la création de richesses par l’encouragement et la promotion de l’initiative privée, sans aucune hésitation, mon choix politique s’est porté sur les seconds.
Ce choix s’explique par le fait que je suis convaincu que l’État ne peut avoir comme rôle de nourrir les gens plutôt que de les aider à être à même de pouvoir se nourrir eux-mêmes. Sachant après tout, que c’est la produc- tion qui précède la distribution et non l’inverse. Cette vision politique a, entre autres, pour mérites, de favoriser la préven- tion et l’anticipation de la dépen- dance à l’État que de se focaliser sur les mesures que l’État doit envisager pour pouvoir prendre en charge et gérer les conséquences des éventuelles dépendances des uns et des autres à son égard. Bien que garant de l’intérêt général, l’État ne doit pas être dans le faire, mais dans le faire- faire qui garantit et accorde les mêmes chances à tous les citoyens.»
L’absence de positionnement de celui dont le rêve d’être le chef de file de l’opposition s’est évanoui comme brouillard et fondu comme neige, ressemble fort bien au mouvement qu’offre le lézard.