
A la place de Cellou Dalein Diallo, j’aurais agi autrement. Il fallait pas accepter de faire marche arrière. Le territoire national est un et indivisible.
« A la place de Cellou, j’aurais agi autrement. Il fallait pas accepter de faire marche arrière. Le territoire national est un et indivisible. Personne ne peut empêcher un candidat quel qu’il soit de mener campagne sur l’ensemble du territoire national ».
« Lorsque vous voulez la paix, il faut se préparer à faire la guerre pour avoir la paix. Et dans tous les pays du monde, cette dissuasion qui fait que quelqu’un ne vous attaque pas, parce qu’il sait que s’il vous attaque la riposte sera graduelle à la même hauteur de la situation. Et là, lorsque vous reculez devant l’inacceptable, c’est l’impunité qui se crée et enfin de compte la paix disparaît… C’est ça la règle dans tous les pays du monde. Si vous ne tenez pas compte de cette logique, vous êtes entrain de mettre les vôtres et le pays en danger ».
« L’Etat a le pouvoir, l’État n’a pas assumé sa responsabilité. L’Etat ne peut pas accepter qu’il y ait des frontières à l’intérieur du territoire national. C’est pour dire qu’il y a certains qui ont des droits et d’autres qui n’ont pas le droit. Lorsqu’un pays va dans ce sens, il prépare l’ingouvernabilité du territoire. L’Etat est entrain de mettre la sécurité de tous les guinéens en danger ».