
Charles Alphonse Wright et Fonikè Manguè.
Acte 7 : Le tribunal de Dixinn ne trouve aucune charge contre Foniké Manguè et ses collègues, ils sont donc libres.
Mon point de vue : Le Procureur a tout simplement abusé de son pouvoir.
Annoncée publiquement une contre vérité peut avoir deux interprétations : soit in savait que l’information était fausse et il avait un agenda caché, soit il a donné une information non vérifiée. Dans les deux cas, c’est une incompétence professionnelle.
En plus ce jugement est un camouflet pour lui personnellement et cela nn’honore pas son poste. Soit il démissionne, soit il se fera débarquer. Ceci ne peut pas rester sans conséquence pour lui.
Foniké Manguè doit se faire examiner par un médecin pour coups et blessures pouvant entrainer des effets secondaires à court et long terme.
Ensuite porter plainte contre l’État Guinéen devant la cour Africaine et/ou internationale.
Il faut bien entamer des actions pour que les arrestations arbitraires prennent fin dans notre pays. Nous avons encore en mémoire les Jeeps qui débarquaient nuitamment pour arrêter d’innocents pères de famille qui finissaient leurs jours au camp Boiro.
Ces arrestation continuent encore et encore.
Il y a des Guinéens qui insultent publiquement toute une communauté, qui réclament des terres achetées par d’autres Guinéens, alors que tout Guinéen le droit d’acheter des terres et de s’installer partout en Guiné. A cause de ces déclarations incendiaires, des plantations furent brulées. Pas d’enquête, pas d’inquiétude tant que ceux-ci sont du côté du pouvoir.
Alors que la plus petite voix dissonante est considéré comme une atteinte à l’ordre public et à la sureté de l’État. Où allons-nous ?
Les hommes se suivent dans les mêmes méthodes.
Pauvre Guinée.
Paul Théa