
L’administration territoriale des sous-préfectures de Pita se trouve totalement démunie pour assumer ses missions régaliennes.
C’est le cas des commissariats de police qui ne comptent qu’un ou deux titulaires sans moyens de locomotion pour couvrir des distances de 80 km.
Alors, le minimum de sécurité des biens avec les vols de bétail récurrents dans la région n’est pas possible. Il en est de même pour les services de l’éducation nationale et de la santé publique.
Les populations se retrouvent obliger de suppléer ainsi à la démission de l’Etat.
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