« Au moment où à Conakry le kg de pommes de terre est vendu à 10.000FG , cette même quantité est vendue 2 fois moins à Labé.
Les produits agricoles de l’intérieur du pays pourrissent par défaut de preneurs du fait de la fermeture des frontiéres et de l’isolement de la capitale.
Les pommes de terre de Timbi-Madina, les avocats de la Guinée Forestiére sans compter les mangues et les noix d’acajou qui d’habitude sont exportés se retrouvent bloqués dans les zones de production.
Il est de la responsabilité du gouvernement d’envisager des mesures pour : L’ écoulement des productions paysannes vers les zones de consommation.
Un revenu sera alors distribué aux producteurs et une quantité de produits agricoles sera disponible pour empêcher des pénuries alimentaires.
Ne rien faire, reviendra à hypothéquer le présent et l’avenir!» — inquiet.
PAR CONAKRYLEMAG.COM
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