
[ad_1]
Zenly vendu à Snapchat pour 300 millions de dollars, Drivy cédé pour la même somme à son ancien rival américain Getaround, Compte Nickel acquis par BNP Paribas pour 200 millions d’euros… Depuis 2015, la tech française s’enorgueillit de réussir régulièrement quelques belles opérations de Mergers and Acquisitions (M & A ou fusions-acquisitions). Certes, ces montants sont loin de ceux que l’on peut observer lorsqu’un géant comme Thales met la main, pour 4,7 milliards d’euros, sur un autre champion mondial comme le fabricant de puces Gemalto, en 2017. Mais ces deals à 200-300 millions d’euros commencent à être significatifs pour les startups françaises. « Bpifrance a fait un gros travail pour pousser les grands groupes à acheter de la tech sur le marché plutôt que de la fabriquer en interne », se réjouit Marc Fournier, l’un des partners du fonds de capital-risque Serena.
Entre 2015 et 2017, un bond de 105% en valeur
Entre 2015 et 2017, le marché des fusions-acquisitions a effectivement connu une forte croissance. D’après l’étude annuelle du cabinet de conseil EY, le nombre d’opérations dans la tech a bondi de 46 % sur la période (de 136 à 205) et de 105 % en valeur (de 8,6 à 17,7…
[ad_2]
Copyright Source link