Les propos lénifiants et équilibristes de Hadja Saran Daraba Kaba ne mérite l’attention de personne. Elle, c’est faites ce que je dis et non ce que je fais. Elle reste la théoricienne du projet de l’hégémonie mandingue.
C’est elle qui avait dit que tout cadre de la Haute Guinée qui ne contribue aux valeurs lacements des fils de la haute Guinée dans l’administration publique est indigne.
Ceux qui croient en elle sont ceux qui tombent facilement sous le charme de la rhétorique.
La COOFEG (Fédération des ONGS féminines de Guinée où elle s’est fait connaître entant que présidente fondatrice, n’était en réalité qu’une organisation opportuniste de captage de fonds au détriment des organisations féminines naissantes qu’elle prétendait voir fédérer et aider.
Connaissant beaucoup l’environnement et les pratiques des ONGS guinéennes, particulièrement, celles des années 90, si on ressortent les casseroles que certains traînent, ils vont se la fermer.
La Guinée est un pays où ce sont ceux qui devraient se taire qui sont volubiles au détriment de ceux qui devraient avoir et prendre la parole.
De cette manière, on va continuer à falsifier l’histoire de notre pays, offenser notre mémoire collectif et insulter notre intelligence.
La nouvelle génération doit apprendre à aller au-delà des incantations de certains aînés pour chercher à connaître leur face sombre ou cachée.
Sow Boubacar, CH
PAR CONAKRYLEMAG.COM
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