
Marmaille « journalistique »
Le réseau social de prédilection d’un bon journaliste c’est Twitter, facebook c’est juste pour bavarder, sinon les vrais gars du game sont sur Twitter.
Par ailleurs, le cadre d’expression professionnelle d’un journaliste c’est dans un média de presse (papier, numérique ou autre), ailleurs c’est juste du contenu comme tout autre. Et un contenu journalistique répond à une structuration définie par des normes et des styles d’écriture bien connu des initiés du domaine.
Malheureusement le mélange des genres, entretenu par les marmailleurs des réseaux sociaux, est tel que beaucoup confondent chroniqueur, animateur, présentateur, analyste, belle plume… à journaliste.
C’est un métier qui a des codes et des normes, et c’est la raison pour laquelle vous verrez rarement nos « journalistes facebook » dans les cérémonies de récompense des professionnels du métier, ils connaissent leur place.
C’est bien de contribuer sur la toile, mais évitons d’entretenir le faux au risque de fragiliser la crédibilité de toute une corporation.
PS : Ce post est un éclairage, si quelqu’un le prend pour un post visé ou se sent spécifiquement concerné, ben, tant pis pour sa gueule