C’est fou de voir comment l’homme noir (guinéen) développe une complexité à la fois devant l’occidental et de la femme noir (quand celle-ci s’émancipe et réclame équité et égalité). Pour garder le contrôle et dominer cette dernière, il l’a brime et la maintient sous son autorité pour ne pas perdre la face.
Il utilise un argument religieux fallacieux ou des coutumes taillés sur mesure qui ne satisfont que des desires. Il oublie sa propre histoire, celle d’une société matriacale où l’homme et la femme fondaient un équilibre societal. Mais bon disons bismilla et lahamoulilah car même à l’au-delà 92 (désolé si c’est pas le bon chiffre) promises vierges l’attendent.
Malipan Baldé
PAR CONAKRYLEMAG.COM
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