Il était heureusement une fois, un célèbre intellectuel qui n’en demeure pas moins un humain dans la tête de qui luttent le bien et le mal en permanence.
Ce combat interne dit-on se remporte à tour de rôle grâce à l’arrosage que l’on fait de l’un ou de l’autre.
Je crains malheureusement que notre cher bien apprécié écrivain ait fait le crasseux choix d’arroser les graines de la bêtise, que dis-je du mal dans sa forme la plus maussade et ce, encore à la face du monde au nom d’un militantisme mal déguisé en défenseur d’une constitution.
Je voudrais m’adresser à vous Monsieur Thierno, si ce qualificatif honorable vous sied encore, au regard de l’indélicatesse avec laquelle vous usez des années de démonstrations intellectuelles que vous nous avez servis avec le temps.
Ça, c’était malheureusement avant que vous ne sachiez plus faire le distinguo entre les valeurs et le malheur de percevoir votre opinion comme une vérité absolue, alors que nous savons bien tous les deux, que la vérité demeure relative.
Oui ! vous détenez le trophée de la bêtise à force d’user de votre plume pour tomber au plus bas de l’échelle réduit à manquer de respect à un Chef d’État d’un pays frère et ami comme celui de la République Malienne, au nom d’une haine déguisée en militantisme de bas étage.
Je vous plains et vous vous en fichez certainement, trop occupé à lutter pour la distinction suprême du tapis rouge de la bêtise intellectuelle du siècle de l’innovation.
Je viendrais à la remise pour lire dans vos yeux cette désolation manifeste que vous incarnez à mon grand Dam, car si le Président IBK c’était exprimé en faveur de votre logique vous l’auriez tressé une couronne en fleurs.
Domani Doré
Femme politique
— conakrylemag