Le Journaliste international Alpha Ousmane diangolo BARRY, molesté et brutalisée au musée de Sandervalia ce mercredi 6 novembre à 2 mètre du Président de la république qui est resté de marbre !
Il était 10h15, dans l’exercice de son métier de journaliste et de patron de presse, Diangolo BARRY, interdit de filmer le président de la république. C’est M. Cissé, directeur de presse à la présidence de la république qui a engagé le bras de fer, voulant retirer de force le Black Berry de M. BARRY en vain.
C’est ensuite que le béret rouge est venu avec des dizaines de policiers et de militaires pour encercler le célèbre Diangolo BARRY qui résista et réussie à garder son appareil. La presse guinéenne a du mal a faire son métier, car la violence des forces de l’ordre du régime de alpha CONDE est d’une violence inouïe, empêchant la presse de faire de métier.
Le président aurait du s’interposer pour montrer que son régime est libre et que la presse est indépendante et protégé.
Les articles 125 et 126 de la constitution font bénéficier aux journalistes professionnelles, des immunités prévues dans la constitution guinéenne.
La presse guinéenne travail en Guinée dans des conditions difficiles.
Zoom de Aminata.com
— conakrylemag