
Quand COVID-19 met à nu, la politique de transport publique de Alpha Condé pendant 10 ans. La queue (un regroupement de plus de 200 personnes) pour monter dans le bus garé à même le sol (sans bitume) quelque part à Dapompa au cœur de Conakry, capitale du pays.
On décrète des mesures de manière fallacieuse, sans assistance. On demande aux taximètre de n’avoir que trois passagers, mais ne disent pas comment faire pour combler les deux autres places étant donné que le taximètre utilise le carburant (qui n’a pas diminué à la pompe).
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Je propose qu’on sorte les voitures de luxe qui sont dans les camps militaires et au garage du gouvernement pour transporter les guinéens au lieu de les donner en location dans les sites miniers.
On nous a tympanisé ici avec des wagons de l’ancien tram de Genève. Où sont-ils aujourd’hui, ou bien en réalité c’était pour la poubelle de Conakry ? Le menteur des transports nous annonçait également des bateaux taxis ; c’était alors l’un des nombreux bruits de tonneaux vides n’est-ce pas?
Le seul endroit où ALPHA CONDE aura réussi, c’est le massacre des guinéens par balles et il les livre volontairement au COVID-19 pour sa boulimie du pouvoir, alors que les deux ou trois semaines qui précédées les élections étaient les plus cruciales pour la Guinée pour faire face à cette pandémie.
Par Pépé Moriba