Un homme meurt et se retrouve en Enfer.
Il constate qu’il y a un Enfer différent pour chaque pays. Il décide alors qu’il choisira le moins atroce pour y passer son éternité.
Il se dirige vers l’Enfer allemand et demande: « Que fait-on ici? »
On lui répond: «D’abord, on vous attache à une chaise électrique pour vous électrocuter pendant une heure. Puis, on vous couche sur un lit de clous pendant une autre heure. Ensuite, le Diable allemand vient vous fouetter vigoureusement pour le restant du jour».
L’homme tremble de tout son corps et passe. Il se rend successivement à l’Enfer des USA, de la Russie et d’autres pays. Il découvre qu’ils sont tous semblables à l’Enfer allemand.
« Malheur à moi ! », se dit-il.
Tout à coup, l’Enfer guinéen attire son attention. Une foule s’y bouscule à l’entrée. Il s’y précipite, étonné, et demande: « Que font-ils ici aux damnés de l’Enfer? »
On lui répond: «D’abord on vous attache à une chaise électrique pour vous électrocuter pendant une heure. Puis, on vous couche sur un lit de clous pendant une autre heure. Ensuite, le Diable guinéen vient vous fouetter vigoureusement pour le restant du jour.»
«Mais c’est exactement la même chose que dans tous les autres Enfers, s’exclame-t-il. Alors, pourquoi y a-t-il tant de gens qui se battent pour entrer ici?»
Un damné, tout souriant, lui souffle à l’oreille: «C’est parce qu’il n’y a jamais d’électricité dans l’Enfer guinéen, donc la chaise électrique ne fonctionne pas. Par ailleurs, les clous ont été payés mais n’ont jamais été livrés par le prestataire. Par conséquent, le lit de l’Enfer guinéen est assez confortable. En plus, le Diable guinéen est un fonctionnaire, il arrive, signe sa fiche de présence et sort pour s’occuper de ses affaires personnelles. Raison pour laquelle, il y a foule devant l’Enfer guinéen».
Aussitôt, l’homme s’engouffre dans la mêlée, joue des coudes et parvient à entrer dans cet Enfer paradisiaque.
Eh Allah, même à l’au-delà, le Guinéen tentera de magouiller, avec le Diable comme complice!
PAR CONAKRYLEMAG.COM
Exprimez-vous ! Réagissez à cet article maintenant avec Facebook
